«Le Leviathan est cette grande force archaïque pour moi liée à l’obscur. C’est un monstre encombré par son corps qui garde des régions oubliées de notre conscience», déclare cet artiste rieur et pourtant anxieux, de son aveu en éternel psychanalyse. Les visiteurs (quota de 150 personnes à l’intérieur) sont réduits ipso facto à l’état de fourmis, mais des fourmis éblouies par la beauté de l’échelle, par la variation de la lumière et de la translucidité, et par la référence à un immense corps maternel.