Le 8 mars 1986, je suis enlevé au Liban avec trois collègues d'Antenne. Jean-louis Normandin 2. 628 jours coupé du monde, entièrement à la merci de mes geôliers. Pourtant, un jour, face à un de leurs caprices, j'ai dit « non ». Tout a changé. Un grain de sable pouvait gripper le mécanisme infernal de la détention.
  • 1
  • 2