Procès Un procès atypique s'est ouvert ce mercredi matin devant le tribunal correctionnel de Paris, qui doit dire si la vente d'objets érotiques à moins de 200 mètres d'une école viole ou non la loi française.
Les magistrats de la 10e chambre doivent déterminer si les godemichés et autres vibromasseurs sont des objets érotiques, et autorisés, ou des objets «pornographiques», seuls interdits à proximité des «établissements d'enseignement». La loi sur la protection de l'enfance de 1987, réformée en 2007, ne précise pas en effet ce qu'est précisément «un objet à caractère pornographique».
