Premier tribunal révolutionnaire
Premier/e La Convention met en place le Tribunal criminel extraordinaire communément appelé "Tribunal révolutionnaire". Il dépend directement de Fouquier-Tinville, qui décide si les suspects doivent être traduits ou non en justice. Ses sentences seront souvent radicales, laissant pas de place au juste milieu : l'acquittement ou la guillotine. Le but de cette cour de justice est selon les révolutionnaires de lutter contre "toute entreprise contre-révolutionnaire, tout attentat contre la liberté, tous complot royaliste." Le tribunal révolutionnaire fonctionnera à plein régime jusqu'au 31 mai 1795, date à laquelle il sera définitivement supprimé.