Annonce Quatre militants de l'organisation écologiste Greenpeace occupaient, lundi 5 mars, le bureau du premier ministre du Québec, Jean Charest, pour réclamer la fermeture de la centrale nucléaire de Gentilly-2. Ils ont déployé devant le bâtiment gouvernemental à Québec une immense banderole déclarant "Fukushima, on s'en souvient. Fermer Gentilly", selon des images transmises par les télévisions et les médias locaux. Les militants, deux femmes et deux hommes, dont on ignore comment ils ont pu pénétrer jusqu'au bureau de M. Charest, absent de Québec, se sont enchaînés les uns aux autres et se sont assis par terre. Deux heures après leur arrivée, les agents de sécurité cherchaient toujours à les déplacer sans recourir à la force