Scandale L'ex-président de l'exportateur d'armes Sofresa poursuit son ancienne entreprise. Le tribunal de commerce de Nanterre (Hauts-de-Seine) sera amené à examiner, à partir du 30 janvier, une affaire sensible. L'ancien président de la Société française d'exportation de systèmes avancés (Sofresa), Michel Mazens, réclame à l'entreprise qu'il a dirigée pendant plus de dix ans la somme de 4 500 000 euros, estimant avoir fait l'objet d'une révocation abusive en janvier 2006, sur ordre de l'Elysée.