Annonce Le garde civil espagnol tué et son collègue grièvement blessé, samedi 1er décembre, lors d'une mission de surveillance de personnes soupçonnées d'appartenir à l'organisation séparatiste basque ETA dans les Landes, ont été victimes d'une "rencontre fortuite" avec des "etarras" présumés, selon la ministre de l'intérieur française, Michèle Alliot-Marie.