Annonce Le Canada demande pardon à ses autochtones. Lors d'une cérémonie au Parlement canadien mercredi, le premier ministre, Stephen Harper, a reconnu que l'envoi de force de dizaines de milliers d'enfants dans des pensionnats pour les couper de leurs familles et de leur culture, de la fin du XIXe siècle aux années 1970, a "causé de graves préjudices".
