Liberation La justice américaine a décidé, vendredi 1er juillet, de libérer Dominique Strauss-Kahn sur parole, mais sans abandonner les poursuites pour crimes sexuels, qui lui ont coûté son poste de directeur général du FMI.Dans une lettre datée du 30 juin envoyée aux avocats de DSK, publiée sur le site du New York Times, le procureur s'était montré beaucoup précis : il y écrit que la plaignante a produit sous serment un "récit erroné" de l'agression sexuelle dont elle affirme avoir été l'objet, omettant de préciser qu'elle avait nettoyé une autre chambre avant de dénoncer les faits incriminés.
