Crise La capitale historique de la Bolivie, Sucre, a été le théâtre de violents affrontements, samedi 24 et dimanche 25 novembre, qui se sont soldés par la mort de trois personnes et 130 blessés. Les incidents impliquaient des policiers débordés, des opposants et des partisans du président Evo Morales (gauche), mobilisés autour de l'Assemblée constituante, qui siège à Sucre depuis août 2006.