Annonce En Europe, la page du terrorisme d'extrême-gauche des années 1970 et 1980 n'en finit pas de se tourner. Jean-Marc Rouillan pourrait suivre le chemin de la semi-liberté déjà emprunté par Nathalie Ménigon. Le tribunal d'applications des peines de Paris s'est prononcé, mercredi 26 septembre, en faveur d'une mesure de semi-liberté d'un an pour le cofondateur du groupe terroriste Action directe.