Annonce dans un avis transmis à Jacques Chirac le conseil supérieur de la magistrature réfute formellement que le procès de Nanterre à l'issue duquel Alain Juppé avait été condamné le 30 janvier à 18 mois d'emprisonnement avec sursis et à 10 ans d'inéligibilité ait eu lieu sous pression. Il estime néanmoins que des incidents troublants des soupçons d'intrusion notamment ont emaillé le délibéré.