Scandale Dan Brown devant la justiceL'auteur du «Da Vinci Code» est accusé d'avoir copié un ouvrage publié au début des années 80 par deux Anglais. Le procès, qui se tient à Londres, doit durer deux semaines.Un procès en plagiat s'est ouvert lundi à Londres contre l'éditeur du «Da Vinci Code», best-seller international de l'écrivain américain Dan Brown. L'issue de cette action pourrait retarder voire bloquer la sortie prévue le 19 mai en Grande-Bretagne de l'adaptation cinématographique du roman.Les deux plaignants, Michael Baigent et Richard Leigh, auteurs du livre «Holy Blood and Holy Grail» paru en 1982, accusent Dan Brown de s'être approprié leurs thèses, notamment l'idée d'un mariage entre Jésus et Marie-Madeleine dont serait né un enfant, premier d'une lignée descendant jusqu'à l'époque contemporaine et dissimulée par l'Eglise catholique.Baigent et Leigh poursuivent la maison Random House, également éditeur de leur ouvrage. Plus de 30 millions d'exemplaires du «Da Vinci Code» ont été vendus dans le monde.Brown, Baigent et Leigh étaient présents à la Haute Cour de Londres pour l'ouverture du procès. Devant le tribunal, Dan Brown, qui devrait témoigner la semaine prochaine, a assuré ne pas avoir été influencé par le livre des deux plaignants.De son côté, Jonathan Rayner James, avocat de Baigent et Leigh, a précisé que l'affaire ne portait pas sur le vol de passages spécifiques mais sur l'appropriation présumée de certains thèmes et idées.Si les deux auteurs obtiennent de la Haute Cour de Londres une injonction interdisant l'utilisation de leurs théories, ils pourraient empêcher la sortie du film «Da Vinci Code», avec dans les principaux rôles Tom Hanks, Ian McKellan et Audrey Tautou.L'auteur du «Da Vinci Code» est accusé d'avoir copié un ouvrage publié au début des années 80 par deux Anglais. Le procès, qui se tient à Londres, doit durer deux semaines.Un procès en plagiat s'est ouvert lundi à Londres contre l'éditeur du «Da Vinci Code», best-seller international de l'écrivain américain Dan Brown. L'issue de cette action pourrait retarder voire bloquer la sortie prévue le 19 mai en Grande-Bretagne de l'adaptation cinématographique du roman.Les deux plaignants, Michael Baigent et Richard Leigh, auteurs du livre «Holy Blood and Holy Grail» paru en 1982, accusent Dan Brown de s'être approprié leurs thèses, notamment l'idée d'un mariage entre Jésus et Marie-Madeleine dont serait né un enfant, premier d'une lignée descendant jusqu'à l'époque contemporaine et dissimulée par l'Eglise catholique.Baigent et Leigh poursuivent la maison Random House, également éditeur de leur ouvrage. Plus de 30 millions d'exemplaires du «Da Vinci Code» ont été vendus dans le monde.Brown, Baigent et Leigh étaient présents à la Haute Cour de Londres pour l'ouverture du procès. Devant le tribunal, Dan Brown, qui devrait témoigner la semaine prochaine, a assuré ne pas avoir été influencé par le livre des deux plaignants.De son côté, Jonathan Rayner James, avocat de Baigent et Leigh, a précisé que l'affaire ne portait pas sur le vol de passages spécifiques mais sur l'appropriation présumée de certains thèmes et idées.Si les deux auteurs obtiennent de la Haute Cour de Londres une injonction interdisant l'utilisation de leurs théories, ils pourraient empêcher la sortie du film «Da Vinci Code», avec dans les principaux rôles Tom Hanks, Ian McKellan et Audrey Tautou.
